11.9.08

des questions ?

Des questions vous passent par la tête ? Envie d'en savoir plus ? De réagir ?
On essaiera de vous répondre.
C'est à vous...

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Où peut-on voir les courts métrages de Claude Pérès ?

l'équipe d'infidèles a dit…

Ils circulent dans des festivals, on a pu les voir au Centre Pompidou à Paris, au Horse Hospital à Londres... On vous donnera plus de détails dès qu'on en aura... Merci pour cette 1ère question, bienvenue !

Anonyme a dit…

Salut ! euh... est-ce qu'ils baisent pour de vrai dans ce film ? oups... mdr

l'équipe d'infidèles a dit…

Salut donc
Personne ne sait ce qu'ils s'est passé dans l'appartement à part les deux participants pour l'instant. Mais on le saura bientôt. A suivre...

Anonyme a dit…

Pourquoi le livre de Duras dans la vanité ?

claude pérès a dit…

Oui, je ne dis ça nulle part, c'est exact...
Pour ces mots : "Vanité des vanités. Tout est vanité et poursuite du vent. C'est moi la poursuite du vent."

l'équipe d'infidèles a dit…

ah je ne savais pas... tout ça pour ne pas avoir de référence direct avec un truc religieux... lol

Anonyme a dit…

Ca ressemble à quoi le désir ? Et un film sur le désir, ça ressemble à quoi ?
Comment ça marche, comment ça fonctionne ? Et d'où ça parle ? Du corps désirant ? De celui désiré ?

J'ai envie d'écrire une réponse à Claude sous la forme d'un autre film (une fois celui-ci distribué, vu, commenté,...) : et ce serait un film sur la fin du désir. Un film noir, j'imagine.

Anonyme a dit…

la sortie ou la diffusion du film "infidèles" en son entier est prévue, pour quand, selon quelles modalités ?

Hugues DEMEUSY a dit…

Bonjour,

J'ai pris connaissance hier de la naissance de ce film que je dois voir demain a IdentiT. Peut-être aurai-je le plaisir de rencontrer Claude. J'aimerai le rencontrer pour une interview, pour un magazine belge. En tout cas , d'ores et déjà, le site du film est carrémemnt intéressant et très novateur. Bravo à l'équipe.
Hugues DEMEUSY

scarbo a dit…

Il n’y a pas grand chose d’autre que l’enfer...nous pousser, nous retenir,...Le paradis des garçons, et pousser plus loin, aux portes des prisons, celui qui s’avance sans demander pourquoi, comme s’ il restait quelque chose à venir de nous à moitié, qui danse et qui oubli, quelque chose grand comme un sexe... demander à l’amour de se planter comme un couteaux imbécile, droite ligne peut être tracé autant que tous points d’horizon gandis et crevés en nous, qui viole pour ne pas avoir à dire merci.

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